Laide sociale Ă  l’hĂ©bergement, ou ASH, est une aide financiĂšre versĂ©e par le Conseil dĂ©partemental. Elle peut complĂ©ter vos ressources pour payer des frais liĂ©s : ou dans une famille, appelĂ© aussi Accueil Familial Social ou AFS. L'aide sociale Ă  l'hĂ©bergement complĂšte les sommes d’argent que vos enfants, vos petits-enfants ou Se loger chez un senior, moyennant un loyer gratuit ou modĂ©rĂ©, tout le monde y d’abord, le logement ou habitat intergĂ©nĂ©rationnel. Il dĂ©signe un ensemble de logements conçus pour accueillir diffĂ©rentes gĂ©nĂ©rations. Comme des Ă©tudiants, familles, et personnes la colocation intergĂ©nĂ©rationnelle, ou colocation senior. Cela consiste Ă  proposer Ă  des jeunes, des Ă©tudiants ou des apprentis, une chambre contre une prĂ©sence ou un service chez un ou plusieurs la cohabitation IntergĂ©nĂ©rationnelle consiste quant Ă  elle Ă  hĂ©berger diffĂ©rentes gĂ©nĂ©rations sous un mĂȘme toit. GĂ©nĂ©ralement une ou des personnes ĂągĂ©es accueillent gratuitement ou pour un loyer modĂ©rĂ© une autre personne, qu’elle soit Ă©tudiante, salariĂ©e ou autre en contrepartie de divers services rendus. Par exemple offrir une prĂ©sence ou une Ă©coute mais aussi aider au jardinage ou aux petits travaux & intergĂ©nĂ©rationnel, nouvelle avantages pour le seniorPouvoir rester chez soi, offrant une plus grande autonomie ;RĂ©duire son isolement et sa solitude, particuliĂšrement le soir ;Retarder le placement en maison de retraite via le maintien Ă  domicile ;Rassurer la famille du senior par la prĂ©sence bienveillante de l’ avantages pour tout le mondeTrouver un logement plus facilement, le plus souvent proche de toutes commoditĂ©s et transports en commun ;Payer son loyer moins cher ou bĂ©nĂ©ficier d’un hĂ©bergement gratuit grĂące aux services rendus ;BĂ©nĂ©ficier de calme tout en ayant de la compagnie et des Ă©changes riches et conviviaux ;Avoir la possibilitĂ© de travailler en logement contre services pour les seniorsSi vous choisissez l’option Logement contre Services, pensez Ă  signer une convention ou un contrat d’EmployĂ© au pair fourni avec toute souscription Ă  une Formule Premium prĂ©cisant bien ce Ă  quoi chacun s’ part, la personne ĂągĂ©e, HĂŽte doit fournir une chambre indĂ©pendante bĂ©nĂ©ficiant du confort requis entiĂšrement rĂ©servĂ©e Ă  la personne accueillie. D’autre part, l’étudiant ou Voyageur s’engage sur les horaires et ses jours de prĂ©sence, les services Ă©ventuels, le prix de la chambre ou des charges. HĂ©bergĂ© et hĂ©bergeur doivent surtout partager un Ă©tat d’esprit des valeurs de convivialitĂ© et de solidaritĂ© qui font le succĂšs de la pourquoi nous mettons Ă  votre disposition plusieurs types de Contrats de colocation ou Etat des Lieux que vous pouvez tĂ©lĂ©charger gratuitement en cliquant plus, nous offrons un Contrat d’EmployĂ© au-pair Ă  tous les dĂ©tenteurs d’un compte avez plus de 60 ans ? Pensez Ă  la Cohabitation IntergĂ©nĂ©rationnelle SolidaireC'est quoi exactement ?C’est partager une partie de votre appartement, maison ou habitation Ă  un jeune de moins de 30 ans. Cela permet, d’une part de renforcer le lien social et Ă©galement de faciliter l’accĂšs au logement des jeunes qui ont peu de moyens financiers mais suffisamment pour participer Ă  payer un petit loyer et l’envie de partager, tout le monde y gagne sur ToitChezMoi ! maintiende la marche chez la personne ĂągĂ©e Charlotte Bouny To cite this version: Charlotte Bouny. Faire un bout de chemin ensemble: les enjeux du maintien de la marche chez la personne ĂągĂ©e. Psychologie. 2019. ïżœdumas-02178003ïżœ CollĂšge sciences de la santĂ© Institut de formation en PsychomotricitĂ© MĂ©moi e en vue de l’obtention du diplĂŽme d’État De
AVERTISSEMENT Le texte prĂ©sentĂ© ici est augmentĂ© d’un post scriptum. Je recommande au lecteur de lire ce dernier trĂšs attentivement. INTRODUCTION Tous les gĂ©riatres sont tous les jours confrontĂ©s au problĂšme de la protection judiciaire des personnes ĂągĂ©es. De plus en plus souvent cette protection est rendue nĂ©cessaire par les situations de dĂ©mence. Il faut parfois protĂ©ger la personne d’un entourage mal intentionnĂ© ou peu attentif aux exigences de la droiture ; il faut plus souvent gĂ©rer ses biens Ă  sa place ; mais la situation la plus courante et la plus dramatique est celle de toutes ces vieilles personnes qui ne sont plus en Ă©tat de vivre chez elles, qu’il faut institutionnaliser, et qui s’y refusent. Rien ne nous autorise Ă  prendre une telle dĂ©cision qui attente gravement aux droits de la personne, et la seule solution est de solliciter une dĂ©cision de justice. Dans une telle situation, ce dont nous avons besoin c’est donc clairement d’une mesure de protection de la personne. Un problĂšme de plus en plus important Cette question de la tutelle prend une importance quantitative croissante sous l’influence de deux donnĂ©es au moins 1° Il y a d’abord l’augmentation du nombre de mises sous tutelle cette augmentation est assez largement reconnue, au point que certains parlementaires s’en sont inquiĂ©tĂ©s Il n’est pas besoin d’une grande luciditĂ© pour voir se profiler derriĂšre cette inquiĂ©tude le dĂ©sir de limiter le coĂ»t de ces mises sous tutelle. On peut se demander quel est le sens de cette tendance ; et a priori on est tentĂ© de retenir trois ordres d’explications Il se peut que le nombre de situations nĂ©cessitant une mise sous tutelle ait augmentĂ©. C’est notamment ce qui se produit avec la dĂ©mence. Il se peut que sans avoir augmentĂ© en nombre ces situations soient mieux reconnues. Mais il se peut aussi que l’augmentation du nombre de mises sous tutelle ne fasse que reflĂ©ter la tendance sĂ©curitaire, normalisatrice, de notre civilisation. Il n’est pas indiffĂ©rent de rappeler que le signalement des situations appelant une mesure de tutelle constitue pour les professionnels une obligation dont la mĂ©connaissance peut leur ĂȘtre reprochĂ©e. 2° Mais le problĂšme de la tutelle vient aussi interfĂ©rer avec celui du consentement Ă©clairĂ©, de l’information du patient et de ses droits. C’est lĂ  une situation nouvelle, qui vient modifier complĂštement la pratique de la tutelle. Pendant trĂšs longtemps la tutelle ne s’est guĂšre exercĂ©e que sur les biens et on ne faisait que se demander ce qu’il en Ă©tait d’une Ă©ventuelle tutelle aux personnes ; ce sont les textes rĂ©cents qui aboutissent Ă  inflĂ©chir les tendances, et on peut dire que la tutelle est dĂ©sormais une tutelle aux personnes. Des textes hĂ©sitants Cela ne s’est pas fait sans mal, comme en tĂ©moigne par exemple la loi du 4 mars 2002, qui prĂ©cise en son article 11 Les droits des mineurs ou des majeurs sous tutelle mentionnĂ©s au prĂ©sent article sont exercĂ©s, selon les cas, par les titulaires de l’autoritĂ© parentale ou par le tuteur. Ceux-ci reçoivent l’information prĂ©vue par le prĂ©sent article, sous rĂ©serve des dispositions de l’article L. 1111-5. ... Et les choses vont plus loin Toute personne majeure peut dĂ©signer une personne de confiance ..., et qui sera consultĂ©e au cas oĂč elle-mĂȘme serait hors d’état d’exprimer sa volontĂ© et de recevoir l’information nĂ©cessaire Ă  cette fin .... Les dispositions du prĂ©sent article ne s’appliquent pas lorsqu’une mesure de tutelle est ordonnĂ©e .... Tout est donc clair, et pour la loi du 4 mars 2002 la tutelle est une tutelle aux personnes ; simplement, ce serait plus clair si cette mĂȘme loi ne portait pas d’étranges anomalies. Elle vise par exemple Ă  prĂ©ciser ce qui arrive au majeur sous tutelle, mais aussi au mineur. Du coup elle ne peut pas Ă©luder le fait que certaines difficultĂ©s, notamment la contraception et l’avortement, sont l’apanage du mineur, ce qui fait qu’on trouve Par dĂ©rogation Ă  l’article 371-2 du code civil, le mĂ©decin peut se dispenser d’obtenir le consentement du ou des titulaires de l’autoritĂ© parentale sur les dĂ©cisions mĂ©dicales Ă  prendre lorsque le traitement ou l’intervention s’impose pour sauvegarder la santĂ© d’une personne mineure, dans le cas oĂč cette derniĂšre s’oppose expressĂ©ment Ă  la consultation du ou des titulaires de l’autoritĂ© parentale afin de garder le secret sur son Ă©tat de santĂ©. Outre que, tel quel, ce passage donne Ă  l’enfant le droit Ă  un secret vis-Ă -vis de ses parents dont on peine Ă  se reprĂ©senter comment il pourrait ĂȘtre mis en Ɠuvre, il suit de ce texte que le mineur jouit d’un droit qui n’est pas accordĂ© au majeur sous tutelle. On ne saisit pas comment on pourrait le justifier. Ou encore, on lit Dans le cas oĂč le refus d’un traitement par la personne titulaire de l’autoritĂ© parentale ou par le tuteur risque d’entraĂźner des consĂ©quences graves pour la santĂ© du mineur ou du majeur sous tutelle, le mĂ©decin dĂ©livre les soins indispensables. Cela signifie que le mĂ©decin peut passer outre l’avis du tuteur, qui n’a plus dĂšs lors qu’un droit Ă  l’information. Il aurait Ă©tĂ© plus prudent de prĂ©ciser la procĂ©dure Ă  suivre en cas de dĂ©saccord. Mais il est vrai que le texte de la loi pĂšche par une certaine naĂŻvetĂ© Le mĂ©decin doit respecter la volontĂ© de la personne aprĂšs l’avoir informĂ©e des consĂ©quences de ses choix. Si la volontĂ© de la personne de refuser ou d’interrompre un traitement met sa vie en danger, le mĂ©decin doit tout mettre en Ɠuvre pour la convaincre d’accepter les soins indispensables. On se demande qui et comment dĂ©finira les limites de ce tout » qu’il s’agit de mettre en Ɠuvre. Mais laissons cela le but ici n’est pas d’étudier la loi sur les droits des malades ; on n’en parle que pour illustrer ce qui se passe lorsqu’on se figure rĂ©gler un problĂšme en se contentant d’emplĂątres au lieu de procĂ©der Ă  une rĂ©flexion sur le fond. Ainsi le flou naissait des textes eux-mĂȘmes, et notamment des circonstances historiques de leur production. Ce flou est il supprimĂ© par la nouvelle loi ? On est tentĂ© de le croire ; reste Ă  savoir comment sur le long terme elle sera appliquĂ©e. LA LOI DU 5 MARS 2007 La nouvelle loi sur la protection des personnes vulnĂ©rables apporte des innovations importantes, mĂȘme si sur l’architecture gĂ©nĂ©rale elle reprend assez largement l’ancien texte. Nous allons nous borner Ă  relever les donnĂ©es les plus intĂ©ressantes. Les mesures de tutelle font partie du Code Civil. C’est donc Ă  une modification de certains articles que la loi s’est livrĂ©e. Les rĂ©fĂ©rences sont celles des articles du Code Civil. La place de la famille Art. 428. - La mesure de protection ne peut ĂȘtre ordonnĂ©e par le juge qu’en cas de nĂ©cessitĂ© et lorsqu’il ne peut ĂȘtre suffisamment pourvu aux intĂ©rĂȘts de la personne par l’application des rĂšgles du droit commun de la reprĂ©sentation, de celles relatives aux droits et devoirs respectifs des Ă©poux et des rĂšgles des rĂ©gimes matrimoniaux, en particulier celles prĂ©vues aux articles 217, 219, 1426 et 1429, par une autre mesure de protection judiciaire moins contraignante ou par le mandat de protection future conclu par l’intĂ©ressĂ©. On sait que Les Ă©poux se doivent mutuellement assistance. article 212 du Code Civil. Ce devoir d’assistance implique probablement le droit et le devoir pour le conjoint d’un sujet dĂ©ment de prendre certaines dispositions Ă  son endroit. Comment va se passer le partage entre les dĂ©cisions que le conjoint peut lĂ©gitimement prendre et celles qui constitueraient un abus ? C’est Ă  voir, et c’est l’un des points sur lesquels la pratique des juges sera intĂ©ressante Ă  observer. En tout cas il est important de noter que l’esprit du nouveau rĂ©gime de tutelle semble d’impliquer l’entourage du mieux possible. C’est en ce sens qu’il faut sans doute lire Art. 399. -Le juge des tutelles dĂ©signe les membres du conseil de famille pour la durĂ©e de la tutelle. Le conseil de famille est une instance qui n’est pas nouvelle, mais il semble que la loi lui donne un rĂŽle important ; en particulier sa constitution semble systĂ©matique. Cela signifie que l’exercice de la tutelle ne se passe plus, comme on le constatait souvent, entre le tuteur et le juge, et que la famille est impliquĂ©e de maniĂšre forte. Elle l’était dĂ©jĂ , Ă  telle enseigne que dans l’ancienne loi il Ă©tait prĂ©vu que lors de la prise de la mesure le juge recherche d’abord dans la famille si une personne Ă©tait en mesure d’exercer la tutelle et que celle-ci, si elle Ă©tait dĂ©signĂ©e, ne pouvait pas se dĂ©rober c’est le mĂȘme type d’obligation que pour le jurĂ© d’assises ; ce n’est qu’à dĂ©faut qu’un tuteur extĂ©rieur pouvait ĂȘtre dĂ©signĂ©. Et la nouvelle loi prĂ©cise mĂȘme La tutelle est un devoir des familles et de la collectivitĂ© publique. Champ de la protection Art. 425. -S’il n’en est disposĂ© autrement, la mesure est destinĂ©e Ă  la protection tant de la personne que des intĂ©rĂȘts patrimoniaux de celle-ci. Elle peut toutefois ĂȘtre limitĂ©e expressĂ©ment Ă  l’une de ces deux missions. VoilĂ  qui est important non seulement cela clarifie enfin la question de la tutelle Ă  la personne, mais encore il est dĂ©sormais possible de proposer une mesure dissociĂ©e ; thĂ©oriquement cela permettrait par exemple de rĂ©soudre le problĂšme du domicile de la personne ĂągĂ©e sans pour autant la priver de la possibilitĂ© de gĂ©rer se biens. C’est ce que prĂ©cise notamment l’article suivant Art. 426. - Le logement de la personne protĂ©gĂ©e et les meubles dont il est garni, qu’il s’agisse d’une rĂ©sidence principale ou secondaire, sont conservĂ©s Ă  la disposition de celle-ci aussi longtemps qu’il est possible. VoilĂ  qui assurĂ©ment n’engage Ă  rien ; d’un autre cĂŽtĂ© on voit bien que l’une des problĂ©matiques visĂ©es par le texte est bien celle du lieu de rĂ©sidence de la personne Ă  protĂ©ger. On note aussi Art 427. - Dans tous les cas, les souvenirs, les objets Ă  caractĂšre personnel, ceux indispensables aux personnes handicapĂ©es ou destinĂ©s aux soins des personnes malades sont gardĂ©s Ă  la disposition de l’intĂ©ressĂ©, le cas Ă©chĂ©ant par les soins de l’établissement dans lequel celui-ci est hĂ©bergĂ©. Qui peut demander une tutelle ? Art. 430. - La demande d’ouverture de la mesure peut ĂȘtre prĂ©sentĂ©e au juge par la personne qu’il y a lieu de protĂ©ger ou, selon le cas, par son conjoint, le partenaire avec qui elle a conclu un pacte civil de solidaritĂ© ou son concubin, Ă  moins que la vie commune ait cessĂ© entre eux, ou par un parent ou un alliĂ©, une personne entretenant avec le majeur des liens Ă©troits et stables, ou la personne qui exerce Ă  son Ă©gard une mesure de protection juridique. Elle peut ĂȘtre Ă©galement prĂ©sentĂ©e par le procureur de la RĂ©publique soit d’office, soit Ă  la demande d’un tiers. Ici les choses ne changent guĂšre par rapport Ă  l’ancienne loi ; en particulier les professionnels de santĂ© ne peuvent demander une mesure de tutelle. Ce qu’ils peuvent faire c’est signaler une situation au Procureur de la RĂ©publique. Les trois mesures Art. 433. - Le juge peut placer sous sauvegarde de justice la personne qui, pour l’une des causes prĂ©vues Ă  l’article 425, a besoin d’une protection juridique temporaire ou d’ĂȘtre reprĂ©sentĂ©e pour l’accomplissement de certains actes dĂ©terminĂ©s. Cette mesure peut aussi ĂȘtre prononcĂ©e par le juge, saisi d’une procĂ©dure de curatelle ou de tutelle, pour la durĂ©e de l’instance. Art. 435. - La personne placĂ©e sous sauvegarde de justice conserve l’exercice de ses droits. Toutefois, elle ne peut, Ă  peine de nullitĂ©, faire un acte pour lequel un mandataire spĂ©cial a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© en application de l’article 437. Les actes qu’elle a passĂ©s et les engagements qu’elle a contractĂ©s pendant la durĂ©e de la mesure peuvent ĂȘtre rescindĂ©s pour simple lĂ©sion ou rĂ©duits en cas d’excĂšs alors mĂȘme qu’ils pourraient ĂȘtre annulĂ©s en vertu de l’article 414-1. Les tribunaux prennent notamment en considĂ©ration l’utilitĂ© ou l’inutilitĂ© de l’opĂ©ration, l’importance ou la consistance du patrimoine de la personne protĂ©gĂ©e et la bonne ou mauvaise foi de ceux avec qui elle a contractĂ©. L’intĂ©rĂȘt de la mesure de sauvegarde est sa rapiditĂ© et sa simplicitĂ©. Elle permet de limiter considĂ©rablement les dĂ©gĂąts qui pourraient rĂ©sulter d’acte inconsidĂ©rĂ©s de la part du patient. Ceux qui ont qualitĂ© pour demander l’ouverture d’une curatelle ou d’une tutelle sont tenus d’accomplir les actes conservatoires indispensables Ă  la prĂ©servation du patrimoine de la personne protĂ©gĂ©e dĂšs lors qu’ils ont connaissance tant de leur urgence que de l’ouverture de la mesure de sauvegarde. Les mĂȘmes dispositions sont applicables Ă  la personne ou Ă  l’établissement qui hĂ©berge la personne placĂ©e sous sauvegarde. Mais la contrepartie est qu’ils doivent veiller... Art. 437. - Le juge peut dĂ©signer un mandataire spĂ©cial, dans les conditions et selon les modalitĂ©s prĂ©vues aux articles 445 et 448 Ă  451, Ă  l’effet d’accomplir un ou plusieurs actes dĂ©terminĂ©s, mĂȘme de disposition, rendus nĂ©cessaires par la gestion du patrimoine de la personne protĂ©gĂ©e. Cette disposition permet par exemple de faire fonctionner une mesure de sauvegarde dans le cas d’un patient trop isolĂ©. Art. 440. - La personne qui, sans ĂȘtre hors d’état d’agir elle-mĂȘme, a besoin, pour l’une des causes prĂ©vues Ă  l’article 425, d’ĂȘtre assistĂ©e ou contrĂŽlĂ©e d’une maniĂšre continue dans les actes importants de la vie civile peut ĂȘtre placĂ©e en curatelle. La curatelle n’est prononcĂ©e que s’il est Ă©tabli que la sauvegarde de justice ne peut assurer une protection suffisante. La personne qui, pour l’une des causes prĂ©vues Ă  l’article 425, doit ĂȘtre reprĂ©sentĂ©e d’une maniĂšre continue dans les actes de la vie civile, peut ĂȘtre placĂ©e en tutelle. La tutelle n’est prononcĂ©e que s’il est Ă©tabli que ni la sauvegarde de justice, ni la curatelle ne peuvent assurer une protection suffisante. Ceci ne change guĂšre. Les droits de la personne protĂ©gĂ©e Art. 457-1. - La personne protĂ©gĂ©e reçoit de la personne chargĂ©e de sa protection, selon des modalitĂ©s adaptĂ©es Ă  son Ă©tat et sans prĂ©judice des informations que les tiers sont tenus de lui dispenser en vertu de la loi, toutes informations sur sa situation personnelle, les actes concernĂ©s, leur utilitĂ©, leur degrĂ© d’urgence, leurs effets et les consĂ©quences d’un refus de sa part. Art. 458. - Sous rĂ©serve des dispositions particuliĂšres prĂ©vues par la loi, l’accomplissement des actes dont la nature implique un consentement strictement personnel ne peut jamais donner lieu Ă  assistance ou reprĂ©sentation de la personne protĂ©gĂ©e. Sont rĂ©putĂ©s strictement personnels la dĂ©claration de naissance d’un enfant, sa reconnaissance, les actes de l’autoritĂ© parentale relatifs Ă  la personne d’un enfant, la dĂ©claration du choix ou du changement du nom d’un enfant et le consentement donnĂ© Ă  sa propre adoption ou Ă  celle de son enfant. Art. 459. - Hors les cas prĂ©vus Ă  l’article 458, la personne protĂ©gĂ©e prend seule les dĂ©cisions relatives Ă  sa personne dans la mesure oĂč son Ă©tat le permet. VoilĂ  qui est bel et bon, mais il faudra ici Ă©galement que la pratique montre comment le juges vont faire la part des choses... LE MANDAT DE PROTECTION FUTURE Il s’agit d’une procĂ©dure par laquelle toute personne peut organiser sa tutelle Ă©ventuelle. Art. 477. - Toute personne majeure ou mineure Ă©mancipĂ©e ne faisant pas l’objet d’une mesure de tutelle peut charger une ou plusieurs personnes, par un mĂȘme mandat, de la reprĂ©senter pour le cas oĂč, pour l’une des causes prĂ©vues Ă  l’article 425, elle ne pourrait plus pourvoir seule Ă  ses intĂ©rĂȘts. C’est Ă©videmment une proposition trĂšs intĂ©ressante. Mais il faudra voir en dĂ©tail comment les juges vont appliquer le texte d’un cĂŽtĂ© le sujet est invitĂ© Ă  organiser sa propre tutelle, de l’autre il faudra bien que, le moment venu, le juge en dĂ©cide, et il n’est pas mentionnĂ© qu’il doive suivre les volontĂ©s exprimĂ©es dans un mandat de protection future ; cela n’est pas surprenant C’est la mĂȘme problĂ©matique que pour les directives anticipĂ©es, qu’on ne saurait appliquer sans les avoir confrontĂ©es Ă  la situation du moment. CONCLUSION La loi de 2007 apporte des Ă©lĂ©ments qui peuvent ĂȘtre trĂšs positifs. Mais toute la question est de savoir comment elle sera rĂ©ellement appliquĂ©e. L’inquiĂ©tude vient du fait qu’en plusieurs endroits elle juxtapose des donnĂ©es imposĂ©es par le respect des droits de la personne et d’autres imposĂ©es par la nĂ©cessitĂ© de la protĂ©ger, Ă©ventuellement d’elle-mĂȘme, sans avancer de proposition pour rĂ©soudre les Ă©ventuels conflits. Est-il possible de faire autrement ? Peut-ĂȘtre pas. Mais alors tout va dĂ©pendre de la jurisprudence...

Laprise en charge des douleurs de la personne ĂągĂ©e. IntĂ©rĂȘt des techniques non mĂ©dicamenteuses Pain management in elderly people. Interests of non medicinal interventions Annabelle DE SOUSA, Guy CHATAP Service de GĂ©rontologie 4 (Dr JP VINCENT), HĂŽpital Emile Roux, 94 Limeil Brevannes, France. Article reçu le 14.06.2007 et acceptĂ© le

BĂ©rengĂšre et Éric Maeker le 07 Janvier 2003. Mis Ă  jour du 11 Juillet syndrome confusionnel est une source importante d'hospitalisation et aggrave le risque de dĂ©cĂšs. Son repĂ©rage est complexifiĂ© par la coexistence de troubles neurocognitifs comme la maladie d'Alzheimer. Il est fondamental de repĂ©rer le syndrome confusionnel et de le prendre en charge rapidement lors d'hospitalisation par exemple [1]. Le CAM Confusion Assess Management [2,3,4,5] est un test simple et rapide qui peut ĂȘtre utilisĂ© en hospitalisation ou en consultation pour repĂ©rer les syndromes confusionnels mĂȘme chez les personnes prĂ©sentant des troubles neurocognitifs. Ce test simple comporte 9 questions. Sa passation est de quelques minutes, sa sensibilitĂ© est de 94% et sa spĂ©cificitĂ© de 89%. Il offre pour les professionnels une excellente reproductibilitĂ©. PrĂ©cisez le nom et l'Ăąge du sujet, le nom de l'examinateur et la date de passation. 1 DĂ©but soudain Y a-t-il Ă©vidence d’un changement soudain de l’état mental du patient de son Ă©tat habituel ? 2 Inattention A. Est-ce que le patient avait de la difficultĂ© Ă  focaliser son attention, par exemple ĂȘtre facilement distrait ou avoir de la difficultĂ© Ă  retenir ce qui a Ă©tĂ© dit ? PrĂ©sent Ă  aucun moment lors de l’entrevue. PrĂ©sent Ă  un moment donnĂ© lors de l’entrevue, mais de façon lĂ©gĂšre. PrĂ©sent Ă  un moment donnĂ© lors de l’entrevue, de façon marquĂ©e. Incertain. B. Si prĂ©sent ou anormal Est-ce que ce comportement a fluctuĂ© lors de l'entretien, c'est-Ă -dire qu'il a eu tendance Ă  ĂȘtre prĂ©sent ou absent ou Ă  augmenter et diminuer en intensitĂ© ? Oui. Non. Incertain Non applicable. C. S'il est prĂ©sent ou anormal DĂ©crire ce comportement 3 DĂ©sorganisation de la pensĂ©e Est-ce que la pensĂ©e du patient Ă©tait dĂ©sorganisĂ©e ou incohĂ©rente, telle qu’une conversation dĂ©cousue ou non pertinente, ou une suite vague ou illogique des idĂ©es, ou passer d’un sujet Ă  un autre de façon imprĂ©visible ? 4 AltĂ©ration de l’état de conscience En gĂ©nĂ©ral, comment Ă©valueriez-vous l’état de conscience de ce patient ? * Alerte normal. * Vigilant hyper-alerte », excessivement sensible aux stimuli de l’environnement, sursaute trĂšs facilement. * LĂ©thargique somnolent, se rĂ©veille facilement. * Stupeur difficile Ă  rĂ©veiller. * Coma impossible Ă  rĂ©veiller. * Incertain. 5 DĂ©sorientation Est-ce que le patient a Ă©tĂ© dĂ©sorientĂ© Ă  un certain moment lors de l’entrevue, tel que penser qu’il ou qu’elle Ă©tait ailleurs qu’à l’hĂŽpital, utiliser le mauvais lit, ou se tromper concernant le moment de la journĂ©e ? 6 Troubles mnĂ©siques Est-ce que le patient a dĂ©montrĂ© des problĂšmes de mĂ©moire lors de l’entrevue, tels qu’ĂȘtre incapable de se souvenir des Ă©vĂ©nements Ă  l’hĂŽpital ou difficultĂ© Ă  se rappeler des consignes ? 7 Anomalies de perception Est-ce qu’il y avait Ă©vidence de troubles de perception chez le patient, par exemple hallucinations, illusions, ou erreurs d’interprĂ©tation tels que penser que quelque chose avait bougĂ© alors que ce n’était pas le cas ? Agitation psychomotrice À un moment donnĂ© lors de l’entrevue, est-ce que le patient a eu une augmentation inhabituelle de son activitĂ© motrice, telle que ne pas tenir en place, se tortiller ou gratter les draps, taper des doigts, ou changer frĂ©quemment et soudainement de position ? Retard psychomoteur À un moment donnĂ© lors de l’entrevue, est-ce que le patient a eu une diminution inhabituelle de son activitĂ© motrice, telle qu’une lenteur, un regard fixe, rester dans la mĂȘme position pendant un long moment, ou se dĂ©placer trĂšs lentement ? 9 Perturbation du rythme veille-sommeil Est-ce qu’il y a eu Ă©vidence de changement dans le rythme veille-sommeil chez le patient, telles que somnolence excessive le jour et insomnie la nuit ? Pour porter le diagnostic de confusion, les items 1 et 2 sont requis, les items 3 ou 4 devraient ĂȘtre prĂ©sents mais sont optionnels. Il est parfois nĂ©cessaire de rĂ©pĂ©ter le test. Ce test simple, surtout sa version Ă  4 items peut ĂȘtre utilisĂ© dans les services d'urgences et peut ĂȘtre rĂ©alisĂ© par une infirmiĂšre. [1] HAS. Confusion aiguĂ« chez la personne ĂągĂ©e prise en charge initiale de l'agitation, 2009. Lien [2] . Clarifying confusion the confusion assessment method. A new method for detection of delirium. Ann Intern Med. 1990 Dec 15;11312941-8. doi 2240918] [DOI [ScienceDirect] [3] Laplante J, Cole M, McCusker J, Singh S, Ouimet M. [Confusion Assessment Method. Validation of a French-language version]. Perspect Infirm. 2005 Sep-Oct;3112-4, 16-8, 20-2.[PMID 17312661] [ScienceDirect] PDF [4] Antoine V, Belmin J, Blain H, Bonin-Guillaume S, Goldsmith L, Guerin O, Kergoat M, Landais P, Mahmoudi R, Morais JA, Rataboul P, Saber A, Sirvain S, Wolfklein G, de Wazieres B. [The Confusion Assessment Method Transcultural adaptation of a French version]. Rev Epidemiol Sante Publique. 2018 May;663187-194. doi Epub 2018 Apr 4.[PMID 29625860] [DOI [ScienceDirect] [5] Hospital Elder Life Program. Lien

avecla personne ĂągĂ©e qu’il accompagne, centrĂ©e sur le respect de son projet de vie au domicile. Des personnes ĂągĂ©es, des aidants et des professionnels vous en parlent. Respect des choix de la personne M. Charles P. (69 ans) : La gestionnaire de cas est lĂ  pour rĂ©soudre mes problĂšmes sans me juger, elle m’écoute toujours. Elle m
Skip to content AccueilComment ça marcheS’équiperContactQuestions FrĂ©quentesArticlesClientA proposAccueilComment ça marcheS’équiperContactQuestions FrĂ©quentesArticlesClientA proposAccueilComment ça marcheS’équiperContactQuestions FrĂ©quentesArticlesClientA propos 5 moyens de renforcer les liens familiaux et intergĂ©nĂ©rationnels 5 moyens de renforcer les liens familiaux et intergĂ©nĂ©rationnels Le partage, l’échange et la cohabitation intergĂ©nĂ©rationnels prĂ©sentent de nombreux avantages sur plusieurs plans. La conservation d’une certaine autonomie pour une personne gagnant en Ăąge, peut notamment passer par cette Ă©mulation au contact des plus jeunes. La famille, surtout les enfants et les petits enfants, constituent le premier Ă©lĂ©ment clĂ© de ce partage entre gĂ©nĂ©rations. Cependant, le voisinage, les clubs et associations, ou encore les colocataires Ă©ventuels, peuvent eux aussi prendre part Ă  ces Ă©changes, dont les bĂ©nĂ©fices sont nombreux. Il existe de nombreuses activitĂ©s agrĂ©ables, qui peuvent permettre ces Ă©changes. Voici quelques exemples d’activitĂ©s intergĂ©nĂ©rationnelles qui peuvent ĂȘtre faites en familles, entre amis ou avec des personnes partageants les mĂȘmes centres d’intĂ©rĂȘts. 1. Les jeux de sociĂ©tĂ© Les jeux de sociĂ©tĂ© constituent une activitĂ© agrĂ©able, ludique, mais aussi stimulante. Ils permettent de crĂ©er des moments qualitatifs avec des proches les petits-enfants par exemple tout en sollicitant les capacitĂ©s cognitives de chacun. LĂ  encore, c’est l’échange entre gĂ©nĂ©rations qui est au centre les grands-parents peuvent enseigner de nombreux jeux de cartes que les nouvelles gĂ©nĂ©rations ne connaissent gĂ©nĂ©ralement pas mais aussi transmettre aux petits-enfants des valeurs et des savoir-ĂȘtre fondamentaux. À une Ă©poque oĂč les plus jeunes se divertissent en solitaire avec des supports digitaux ; les jeux de sociĂ©tĂ©s permettent une connexion intergĂ©nĂ©rationnelle et promettent de passer des moments diffĂ©rents, ensemble. 2. Faire une promenade en forĂȘt Partir Ă  l’aventure, en forĂȘt, avec ses petits enfants est une formidable occasion de passer un bon moment, agrĂ©able pour tous ; toutes gĂ©nĂ©rations confondues. C’est l’occasion, pour les plus ĂągĂ©s, de transmettre aux plus jeunes, leur savoir sur la nature ou sur la rĂ©gion. Enfants et petits enfants peuvent ainsi, par exemple, apprendre ou rĂ©apprendre Ă  ramasser chĂątaignes et champignons. Le tout peut ĂȘtre alors dĂ©gustĂ© en famille, une fois de retour Ă  la maison. Dans un prĂ©cĂ©dent article, nous avons Ă©voquĂ© l’importance de la pratique sportive passĂ© 60 ans. Une promenade en forĂȘt, accompagnĂ©s de proches, plus jeunes, permet de mĂȘler l’utile Ă  l’agrĂ©able, et de faire un effort physique en toute sĂ©curitĂ©. 3. Partager la mĂ©moire de la famille, un rĂ©vĂ©lateur des liens intergĂ©nĂ©rationnels Les maisons de seniors regorgent gĂ©nĂ©ralement de trĂ©sors objets anciens, albums photos, et autres Ă©lĂ©ments qui constituent une partie de l’histoire de votre famille. Explorer greniers, caves et cartons est l’occasion de partager de nombreux souvenirs. Ces activitĂ©s solliciteront la mĂ©moire et resserreront probablement les liens familiaux. 4. Les activitĂ©s sportives en groupe PassĂ© 60 ans, l’OMS conseille aux seniors de pratiquer chaque semaine, au minimum 150 minutes d’activitĂ© d’endurance ou 75 minutes d’activitĂ© sportive soutenue. Il existe plusieurs activitĂ©s et organisations proposant des activitĂ©s sportives pensĂ©es spĂ©cialement pour les seniors exemple gym douce. Sans enfants ou petits enfants vivant aux alentours, avec des liens intergĂ©nĂ©rationnels rĂ©duits, il est alors peut ĂȘtre prĂ©fĂ©rable d’opter pour des activitĂ©s sportives qui permettent d’intĂ©grer un groupe intergĂ©nĂ©rationnel Les cours en salle de sport Cours de Yoga en groupe Club de cyclisme PĂ©tanque Aquagym 
 Toutes ces activitĂ©s permettent de cĂŽtoyer des personnes de tous Ăąges, partageant un centre d’intĂ©rĂȘt commun. Ces rendez-vous rĂ©guliers permettent de tisser des liens, d’assurer une sortie rĂ©currente du domicile et d’avoir une pratique sportive ; le tout favorisant grandement la prĂ©servation de l’autonomie. Lorsqu’on est peu entourĂ©, et qu’il n’est pas possible de voir rĂ©guliĂšrement des enfants, ou des petits-enfants ; ce type de rendez-vous joue une grande part dans la vie sociale d’une personne senior. 5. Les collocations intergĂ©nĂ©rationnelles Les collocations intergĂ©nĂ©rationnelles sont Ă©galement une option pour conserver un lien social fort et assurer un partage entre les gĂ©nĂ©rations, Ă  long terme. Les Ă©tudiants, comme les seniors, y trouvent plusieurs avantages. Ces 2 catĂ©gories de population ont gĂ©nĂ©ralement de faibles ressources et les mutualisent sous le mĂȘme toit. Ce type de dispositif permet aux Ă©tudiants de trouver un logement Ă  moindre frais, voire gratuit. En Ă©change, ceux-ci sont disponibles le soir et la nuit, afin de rĂ©pondre aux besoins et demandes de la personne ĂągĂ©e. L’étudiant doit Ă©galement s’acquitter de tĂąches telles que le bricolage, la cuisine, le mĂ©nage ou encore l’entretien du jardin selon les modalitĂ©s fixĂ©es au prĂ©alable. Les avantages pour la personne ĂągĂ©e sont nombreux assistance, compagnie, secours rapides en cas de problĂšmes ou chutes
 Ces dispositifs sont gĂ©nĂ©ralement mis en place par des associations, fĂ©dĂ©rĂ©es par le rĂ©seau CoSi. Et vous ? Avez vous mis en place un moyen novateur pour faciliter le lien intergĂ©nĂ©rationnels et rester en contact avec votre parent mĂȘme si vous vivez loin ? Est-ce que What’s app a facilitĂ© les contacts si vous vivez Ă  l’étranger ? D’autres articles ? Rencontre avec Olivier, l’ami des personnes ĂągĂ©es Animaux de compagnie un paris gagnant pour les sĂ©niors TĂ©lĂ©assistance pour senior – qu’est-ce que c’est ? Comment la choisir ? Objets connectĂ©s 5 outils adaptĂ©s aux seniors 5 conseils pour stimuler et maintenir l’autonomie de vos parents ĂągĂ©s Alternatives Ă  la maison de retraite ou l’ehpad Si toutefois, vous vivez Ă©loignĂ© de votre proche en perte d’autonomie, dĂ©couvrez comment la solution PrĂ©dical vous permet de veiller sur lui, malgrĂ© la distance
 StĂ©phane Besseau2018-09-06T141943+0200 Articles similaires Ce site utilise Akismet pour rĂ©duire les indĂ©sirables. En savoir plus sur comment les donnĂ©es de vos commentaires sont utilisĂ©es.
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LA PERFUSION SOUS-CUTANÉE La perfusion sous-cutanĂ©e est une technique dĂ©jĂ  ancienne, dont l’efficacitĂ© n’est plus Ă  dĂ©montrer. Elle ne doit la dĂ©suĂ©tude dans laquelle elle est tombĂ©e qu’aux progrĂšs technologiques relatifs aux matĂ©riels de ponction veineuse, qui ont pu faire croire que les possibilitĂ©s de la voie intraveineuse Ă©taient inĂ©puisables. Ce n’est plus le cas dans certaines circonstances, notamment en fin de vie oĂč le capital veineux peut ĂȘtre devenu inutilisable. La voie sous-cutanĂ©e retrouve alors son intĂ©rĂȘt, pour sa simplicitĂ©, son efficacitĂ© et son innocuitĂ©. PRINCIPES D’UTILISATION La perfusion sous-cutanĂ©e est basĂ©e sur un constat clinique la plupart des drogues et solutĂ©s injectĂ©s dans le tissu cellulaire sous-cutanĂ© semblent ĂȘtre rĂ©sorbĂ©s Ă  peu prĂšs comme s’ils avaient Ă©tĂ© injectĂ©s par voie intraveineuse ; toute la quantitĂ© injectĂ©e se retrouve dans le secteur vasculaire [1] . Cette constatation permet d’administrer ainsi un trĂšs grand nombre des mĂ©dicaments, et notamment ceux qui sont couramment utilisĂ©s dans les derniers temps de la vie. L’administration sous-cutanĂ©e d’une quantitĂ© notable de liquide provoque un ƓdĂšme localisĂ© au niveau de la jonction entre l’hypoderme et le tissu cellulaire sous-cutanĂ©, ce qui aboutit Ă  l’équivalent d’une poche ; physiologiquement tout se passe alors comme si cette poche Ă©tait presque directement raccordĂ©e au compartiment sanguin. TECHNIQUE DE PERFUSION Il importe de choisir un site de ponction commode et indolore. Un site indolore est notamment une zone ou la peau a une Ă©paisseur Ă  peu prĂšs constante et est facilement dĂ©collable des plans profonds, et oĂč il existe un espace de diffusion important. Un site commode est une zone facile d’accĂšs, et qui Ă©vite d’entraver sa mobilitĂ©. Enfin on doit opter pour un site que ne gĂȘne pas les examens cliniques. Pour ces raisons on peut sĂ©lectionner, dans l’ordre La zone sous-claviculaire droite. La zone sous-claviculaire gauche. La paroi abdominale antĂ©rieure. La face antĂ©rieure des cuisses. On se mĂ©fiera cependant de la paroi abdominale, souvent trĂšs mince chez le sujet cachectique, et peu commode chez tout patient dans la mesure oĂč le matĂ©riel peut gĂȘner l’examen de l’abdomen. En fait la meilleure voie est la sous-claviculaire droite, dans laquelle on accĂšde facilement au montage sans dĂ©ranger le malade, et qui ne gĂȘne pas l’auscultation cardiaque ; les seuls problĂšmes sont les suites d’irradiation et les chambres implantables, mais on n’a pas tous les jours besoin de mettre une voie sous-cutanĂ©e quand on a un Port-A-Cath. Le plus simple est d’utiliser une Ă©picrĂąnienne Ă  ailettes de calibre 23 ou 25, montĂ©e sur une seringue remplie de solutĂ©. AprĂšs dĂ©sinfection avec un agent non colorant, on pince la peau assez largement afin de rĂ©aliser un gros pli cutanĂ© ; l’aiguille pĂ©nĂštre dans la peau sous un angle de 30°, biseau vers le haut, jusqu’à la garde. On vĂ©rifie que la peau a bien Ă©tĂ© traversĂ©e l’extrĂ©mitĂ© de l’aiguille doit pouvoir bouger de droite Ă  gauche et de la surface vers la profondeur. On place immĂ©diatement un petit tampon de coton sous les ailettes pour maintenir l’angle de pĂ©nĂ©tration, et on fixe le toute, idĂ©alement par une plaque adhĂ©sive transparente. La fixation doit en effet Ă©viter la rotation de l’aiguille autour du point de ponction risque de douleur, d’hĂ©matome, ainsi que le retrait spontanĂ© de l’aiguille ; cependant l’application d’adhĂ©sif ne doit pas gĂȘner la surveillance du point de ponction. Il faut surtout veiller Ă  ce que le pansement ne plaque pas l’aiguille contre la peau, ce qui ferait perdre l’angle de 30° un bon pansement de sous-cutanĂ©e est laid. Un nombre croissant d’équipes remplace l’épicrĂąnienne par des cathĂ©ters courts. Il semble que cela allonge la durĂ©e de vie du point de ponction. C’est possible ; En thĂ©orie le dĂ©faut des Ă©picrĂąniennes Ă  ailettes est d’exposer au risque de piqĂ»re accidentelle du soignant en cas de retrait accidentel ; par contre le dĂ©faut des cathĂ©ters est le risque de coudure, qui entrave bien entendu l’injection ; par ailleurs on ne voit pas comment un cathĂ©ter permettrait de maintenir l’angle de pĂ©nĂ©tration Ă  30°, mais il se peut que l’importance de cet angle soit surestimĂ©e. Bref le dĂ©bat reste ouvert. TrĂšs souvent les premiers instants d’utilisation de la sous-cutanĂ©e sont dĂ©sagrĂ©ables c’est qu’il faut crĂ©er un dĂ©but de clivage entre la peau et le tissu sous-jacent [2], sans lequel la premiĂšre journĂ©e de perfusion serait marquĂ©e par une irritation locale avec prurit, voire douleurs. On peut Se contenter de le savoir, et ne pas prendre cela pour une intolĂ©rance. ProcĂ©der au clivage avec du sĂ©rum salĂ©. ProcĂ©der au clivage avec 2 ml de lidocaĂŻne Ă  1% diluĂ©e dans 2 ml de sĂ©rum bicarbonatĂ© Ă  1,4% ceci afin de prĂ©venir les irritations engendrĂ©es par l’aciditĂ© de la lidocaĂŻne. ProcĂ©der au clivage avec de la hyaluronidase. Ceci fait le systĂšme est en place. SURVEILLANCE DU POINT DE PONCTION La surveillance du point de ponction est quotidienne. On vĂ©rifiera la position de l’aiguille et l’état de la peau autour d’elle. L’intolĂ©rance se manifeste par une rougeur au point de ponction, rarement accompagnĂ©e de douleurs ou de dĂ©mangeaisons. La seule mesure Ă  prendre est le changement de site d’injection. Cela dit il faut se mĂ©fier la plupart du temps le prurit n’est liĂ© ni aux drogues ni au sparadrap mais simplement au fait qu’on a omis de crĂ©er le clivage entre la peau et les tissus sous-jacents ; dans ce cas il disparaĂźt en 24 heures. S’il n’y a pas d’anomalie il n’y a pas lieu de faire quoi que ce soit ; si on veut changer le pansement les soins se rĂ©sument Ă  un nettoyage Ă  l’alcool suivi Ă©ventuellement d’une application d’éther. La seule difficultĂ© est de ne pas dĂ©placer l’aiguille. En pratique on sera souvent surpris de constater qu’une aiguille correctement placĂ©e sans faute d’asepsie est parfaitement tolĂ©rĂ©e pendant une pĂ©riode pouvant aller jusqu’à deux ou trois semaines... Quand on utilise la sous-cutanĂ©e de maniĂšre intermittente, il arrive que l’aiguille se bouche ; il est rare que ce ne soit pas rĂ©versible en injectant sous lĂ©gĂšre pression 0,5 ml de sĂ©rum salĂ© ; il n’y a guĂšre lieu de proposer l’hĂ©parine. UTILISATION DE LA VOIE D’ABORD La voie d’abord ainsi créée peut ĂȘtre utilisĂ©e pour effectuer une rĂ©hydratation perfusion sous-cutanĂ©e proprement dite, ou pour pratiquer des injections intermittentes sans avoir Ă  ponctionner le malade Ă  chaque fois. On a du mal Ă  se faire une idĂ©e prĂ©cise de ce qui peut ĂȘtre administrĂ© par cette voie. La sous-cutanĂ©e a ses partisans aveugles et ses dĂ©tracteurs farouches. Toutes les indications et contre-indications demandent Ă  ĂȘtre vĂ©rifiĂ©es. Ce qui par contre n’est guĂšre discutĂ© c’est que la rĂ©sorption des drogues administrĂ©es par cette voie est excellente, meilleure que par voie intramusculaire. Les solutĂ©s Tout le monde s’accorde Ă  dire que l’administration sous-cutanĂ©e de sĂ©rum salĂ© ne pose aucun problĂšme. On peut souvent ajouter sans inconvĂ©nient des Ă©lectrolytes et notamment des doses filĂ©es de KCl, Ă  la seule condition de ne pas aboutir Ă  une hypertonie excessive source de douleurs. Le sĂ©rum glucosĂ© est plus controversĂ© ; cela est dĂ» en partie Ă  la mauvaise rĂ©putation de la perfusion qui passe Ă  cĂŽtĂ© » ; mais il ne faut pas comparer ce qui se passe dans un bras et ce qui peut se passer dans un vaste espace extracellulaire. En pratique il semble que le glucosĂ© Ă  5% pose peu de problĂšmes, mais son indication est restreinte, surtout en fin de vie. Il en va de mĂȘme du sĂ©rum bicarbonatĂ©, qui semble utilisable mais demande de la prudence ; d’ailleurs les solutĂ©s Ă  pH trop acide ou trop alcalins vont ĂȘtre douloureux. Naturellement les macromolĂ©cules ne sont efficaces que dans la lumiĂšre vasculaire. La question qui se pose est celle des quantitĂ©s. Il est facile d’injecter 1 Ă  1,5 l d’eau par 24 heures ; on notera toutefois qu’en fin de vie 750 ml suffisent Ă  assurer le confort d’un malade non fĂ©brile, et qu’une lĂ©gĂšre dĂ©shydratation est souvent bienvenue. Mais il faut considĂ©rer que la perfusion sous-cutanĂ©e n’aboutit qu’à crĂ©er un ƓdĂšme, et que cet ƓdĂšme n’a d’intĂ©rĂȘt thĂ©rapeutique que quand il est rĂ©sorbĂ©. Le facteur limitant de la perfusion sous-cutanĂ©e n’est pas le dĂ©bit de perfusion mais la vitesse de rĂ©sorption de l’ƓdĂšme, et il ne sert Ă  rien de perfuser sur un mĂȘme site plus d’un litre par 24 h. Ajoutons qu’un malade qui aurait besoin de plus de deux litres aurait vraisemblablement besoin d’une prise en charge en milieu spĂ©cialisĂ©. À ces posologies, l’immense intĂ©rĂȘt de la perfusion sous-cutanĂ©e est de pouvoir ĂȘtre administrĂ©e la nuit, prĂ©servant au mieux l’autonomie du malade. Les molĂ©cules LĂ  aussi il est difficile de se faire une idĂ©e de ce qui pose problĂšme. En pratique la rĂšgle est que dans la liste des produits utilisĂ©s en fin de vie il n’existe pas de drogue utilisable par voie intraveineuse qui ne puisse l’ĂȘtre par voie sous-cutanĂ©e. Les opinions dĂ©favorables qui courent çà et lĂ  doivent beaucoup au fait qu’on a omis de crĂ©er le clivage Ă  la lidocaĂŻne, et qu’on attribue Ă  des rĂ©actions d’intolĂ©rance ce qui n’est que la douleur du clivage. Il faut rappeler que la pharmacocinĂ©tique de cette voie n’est pas trĂšs Ă©loignĂ©e de la voie ce qui implique de la mĂȘme prudence morphine par exemple. De plus, si la rĂ©sorption par voie n’est tout de mĂȘme pas exactement aussi bonne que la voie elle n’est pas non plus aussi rĂ©guliĂšre, ce qui pourrait exposer Ă  des surdosages. On peut ainsi injecter Des antalgiques morphine, nalbuphine, buprĂ©norphine, nefopam, pĂ©thidine, fentanyl, mĂ©thadone ; des antispasmodiques Butylhyoscine, butylbromure de scopolamine ; des salicylĂ©s. La question du paracĂ©tamol est encore en chantier on lui a longtemps reprochĂ© d’occasionner des douleurs au point d’injection ; en fait il semble que ce ne soit pas le cas, si du moins on prend la prĂ©caution de perfuser lentement 1/2 heure ; par contre l’efficacitĂ© est alors Ă  vĂ©rifier. La kĂ©tamine. Des corticoĂŻdes on leur impute un risque de nĂ©croses cutanĂ©es qui semble bien rare des essais ont montrĂ© que des doses de 120 mg de mĂ©thylprednisolone sont sans danger. En cas de crainte, on pourra diluer dans 125 ml de sĂ©rum salĂ©. Les anti-inflammatoires non stĂ©roĂŻdiens sont douloureux, mais on peut passer le piroxicam, le kĂ©toprofĂšne. De l’atropine, de la scopolamine, de l’adrĂ©naline, la naloxone, la flumazĂ©nil. Des sĂ©datifs clorazĂ©pate, diazepam, clonazepam mais ces deux derniers sont souvent douloureux, midazolam, flunitrazĂ©pam ; halopĂ©ridol, chlorpromazine mais cette notion est discutĂ©e, lĂ©vomĂ©promazine, hydroxyzine, promĂ©thazine, phĂ©nobarbital. Des antidĂ©presseurs la clomipramine est possible mais mal tolĂ©rĂ©e ; par contre l’amitriptyline semble bien tolĂ©rĂ©e, tout comme le citalopram. Le mĂ©toclopramide, l’ondansĂ©tron, la ranitidine, la cimĂ©tidine, l’omĂ©prazole, l’alizapride. L’octrĂ©otide. Le furosĂ©mide, la mexilĂ©tine, la nĂ©ostigmine. Le thiocolchicoside. Le valproate. Le clodronate. Des antibiotiques, notamment la benzylpĂ©nicilline, l’ampicilline, l’amoxicilline avec la rĂ©serve mentionnĂ©e ci-dessus en ce qui concerne l’acide clavulanique, le cĂ©fotaxime, la teicoplanine, la pĂ©floxacine, tous les aminosides, le thiamphĂ©nicol ; certains produits semblent douloureux, au moins chez certains patients [3] ; le mĂ©tronidazole est possible mais mal tolĂ©rĂ© localement. Le 5-fluoro-uracile. Des essais ont mĂȘme Ă©tĂ© faits avec des solutions d’acides aminĂ©s. Le dĂ©veloppement de la perfusion sous-cutanĂ©e sera le fait des praticiens il n’existe guĂšre de volontĂ© de recherche approfondie sur le sujet. Mais dĂ©velopper la perfusion sous-cutanĂ©e suppose qu’on procĂšde Ă  ce qui s’apparente Ă  des essais thĂ©rapeutiques, ce qui imposerait de procĂ©der au recueil du consentement Ă©clairĂ©, etc. Il y a lĂ  une difficultĂ© importante, que chacun devra considĂ©rer. Cette remarque Ă©tant faite, il faut distinguer l’efficacitĂ© et la tolĂ©rance. D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale en ce qui concerne la tolĂ©rance tous les produits pour lesquels le Vidal ne mentionne pas " profonde", ou " stricte" peuvent ĂȘtre essayĂ©s sans danger ; au besoin on pourrait faire l’essai avec quelques gouttes. Il reste Ă  prouver d’autre part que la tolĂ©rance locale est la mĂȘme pour tous les patients. Toujours s’agissant de la tolĂ©rance, il faut considĂ©rer deux autres points au moins Il y a la question des solvants l’eau expose au risque de solutĂ© hypotonique, avec une tolĂ©rance diminuĂ©e ; peut-ĂȘtre faudrait-il privilĂ©gier le NaCl. Il y a surtout la question des mĂ©langes le risque d’intolĂ©rance croĂźt avec le nombre de molĂ©cules injectĂ©es simultanĂ©ment, ce qui fait que les mĂ©langes complexes souvent utilisĂ©s en soins palliatifs posent des problĂšmes frĂ©quents mais on oublie trop Ă©galement le risque d’interactions physico-chimiques dans la seringue. La question de l’efficacitĂ© est plus dĂ©licate elle suppose pour ĂȘtre tranchĂ©e une Ă©tude pharmacocinĂ©tique et des moyens relativement lourds, ce qui supposerait que de vastes Ă©tudes soient dĂ©cidĂ©es. Pour le moment on est donc souvent rĂ©duit Ă  des raisonnements simplistes et des supputations Un produit qui ne serait pas rĂ©sorbĂ© devrait s’accumuler localement. L’efficacitĂ© peut s’apprĂ©cier grossiĂšrement avec les seules armes de la clinique. PRÉCAUTIONS ET LIMITES Il n’est pas nĂ©cessaire de rincer la tubulure aprĂšs chaque injection. L’hĂ©parinisation serait intempestive. Par contre il convient de veiller Ă  la propretĂ© absolue de l’ensemble du systĂšme. Il faut aussi informer l’entourage que la perfusion va engendrer un ƓdĂšme la voie sous-claviculaire notamment va crĂ©er un gonflement de la base du cou qui ne menace pas la fonction respiratoire... De la mĂȘme maniĂšre il arrive chez un certain nombre de femmes qu’une perfusion sous-cutanĂ©e en vois sous-claviculaire passe dans le sein ; cet incident est sans danger, mais il est imprĂ©visible. La voie sous-cutanĂ©e ne permet pas d’utiliser tout, ni toutes les quantitĂ©s. Cependant cette limite n’est pas perceptible dans les situations de fin de vie. Par contre le collapsus cardio-vasculaire est probablement une limite l’effondrement de la perfusion tissulaire entrave la rĂ©sorption des mĂ©dicaments la mĂȘme observation vaut sana doute pour la voie sublinguale. Mais lĂ  encore cette limite ne pose guĂšre de problĂšme pratique.
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Enfonction du degrĂ© d’autonomie ou de dĂ©pendance de la personne ĂągĂ©e, il est possible soit de faire appel Ă  des services d’aide Ă  domicile, soit de s’orienter vers une structure d’accueil mĂ©dicalisĂ©e (EHPAD) ou non (EPA). Les Ă©tablissements d’hĂ©bergement pour personnes ĂągĂ©es dĂ©pendantes (EHPAD ) Ils accueillent des vous permet de rechercher ou dĂ©poser des petites annonces de jobs relevant du service Ă  la personne et donc dans le cadre du CESU ChĂšque Emploi Service Universel . Vous ĂȘtes un particulier Ă  la recherche d'une personne pouvant vous proposer ses services dans le cadre du CESU ou bien Ă  la recherche d'un job ou petit boulot, heures de mĂ©nage, garde d'enfants, services aux personnes dĂ©pendantes ... et vous accĂ©ptez les chĂšques emploi services, vous pouvez dĂ©poser votre annonce sur Pour sa promotion les 1000 premiĂšres annonces sont gratuites ! Pour toutes demandes d'informations, contactez le service du CESU Dansce type de cas, le service Ă  domicile pour personnes ĂągĂ©es dĂ©pendantes est souvent appelĂ© par la famille de la personne ĂągĂ©e. L’aide-mĂ©nagĂšre va exĂ©cuter les tĂąches d’entretien tels que : la vaisselle, l’entretien du linge, le rangement de tous les ustensiles de cuisine, le mĂ©nage des diffĂ©rentes piĂšces de la maison Aussi, certaines aide-mĂ©nagĂšres ï»żVoilĂ  un thĂšme de 94% qui nous propose de trouver des points communs entre des vieux et des enfants. Dans le cas oĂč il vous manque des rĂ©ponses pour obtenir les 94% attendus, on vous offre toutes les rĂ©ponses dans la liste ci-dessous. Profitez-en ! Points communs entre personnes ĂągĂ©es et bĂ©bĂ©s -% Fragile -% Couche -% Dents -% DĂ©pendante Autres sujets de ce niveau – >> Toutes les solutions de 94% Quand on y rĂ©flĂ©chit bien, on peut trouver Ă©normĂ©ment de similitudes entre un nouveau nĂ© et une personne ĂągĂ©e. Dans les deux cas, elles sont dĂ©pendantes d’un adulte pour les aider Ă  manger, boire, aller aux toilettes. De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, il faut les accompagner pour tout les gestes du quotidien. 3ZZqaC.
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